Alcool + Dates

26 Avr

J’ai essayé de rédiger ce texte dimanche matin, avant mon souper de famille, mais j’en étais tout simplement incapable. Couchée sur le sofa, en pyjama, mascara qui bavait autour des yeux, gatorade maison à la main (Que « Dieu » bénisse la recette publiée dans le livre « Deux folles et un fouet »), sandwich subway dans l’autre, je fixais d’un air débile l’épisode de sitcom qui jouait à la télé. Ma tête menaçait d’éclater. Et que dire de mon estomac…

Bref, j’étais lendemain de veille. Solide.

Le pire dans tout ça? C’était pas à cause d’une sortie avec Emma, une gang d’amies ou un party qui a dérapé. Nenon. J’étais on a date, tout simplement.

Je ne sais pas pourquoi, mais, 4 premières dates sur 5, je suis vraiment plus-que-pompette. Je vous rassure, je ne me saoule pas seule pendant que le mec sirote un Perrier. Il boit toujours aussi et marche aussi croche que moi en sortant.

On a toujours beaucoup de fun.
On finit toujours par frencher.
Je ne couche jamais le premier soir (Really!)…

Mais le lendemain, c’est vraiment flou.

(BTW, je ne crois pas que c’est ce qui fait que je suis encore célibataire. Je ne date pas souvent, et toutes les fois où j’ai trop bu j’ai fini par fréquenter le mec en question pendant plusieurs mois. Coincidence? On verra bien cette fois…)

Je suis la seule à trouver difficile de dire non à un shooter? À boire un verre de trop alors que ce n’est pas nécessairement dans mes habitudes?

M.

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